Résultats de recherche pour : 'ans ateli gaetane guide et nolwenn rich'

La revue vous propose 35 ans d’archives intégrales, de 1981 à 2015, soit 205 numéros, numérisés et indexés sur un seul DVD-Rom compatible sur PC et MAC.

Ce premier livre sur Jacqueline Lerat (1920-2009) permet, avec l’appui de ses amis, de retracer 70 ans de passion pour la création céramique.

Chawanya est le livre d’un potier « auteur de chawans », qui a consacré sa vie à faire des bols à thé, parce qu’il était né dans une famille dont c’était la charge, la famille Raku, et parce qu’il l’avait choisi lui-même.

Six ans après sa sortie au Japon, cet ouvrage exceptionnel est désormais disponible en version française.

À l’âge de trente ans, Christine Fabre, originaire de Marseille, se sent potière mais suit désormais avec sa fougue naturelle une voie personnelle d’objets sculptés.

Après Le Secret partagé et Le Jardin du potier, Pierres habitées nous présente quelques-unes des plus belles et des plus récentes réussites de Daniel de Montmollin.

Le potier François Fresnais installé depuis plus de 30 ans à Sampigny-les-Maranges au coeur de la Bourgogne entre Beaune et Macon, présente dans son nouveau livre « Terres Vernissées » une étude des plus complète à ce jour sur la technique millénaire de la terre vernissée, des engobes et des couvertes transparentes.

An outstanding production of the Italian Renaissance, maiolica ware has long been prized and collected. In his home city of Castel Durante, Cipriano Piccolpasso wrote the first European treatise devoted to ceramics.

Monica Guggisberg and Philip Baldwin have been working as a team since 1980. Independent artists and designers, working principally in glass, they concentrate on one of a kind vessels, larger sculptural works and installations for private and public spaces.

How to play with a large blackboard, a pail of barbotine (liquid clay) and an apron when the rules of the game are missing? Obviously, by accepting the challenge and inventing your own rules!

Ses pas dans les traces des anciens, il se veut compagnon des anonymes romains et des souffleurs de la Renaissance. Lui, eux, et tous ceux qu’il a formés appartiennent à une même confrérie : celle des « gentilshommes » du verre. L’atelier du verrier n’est pas moins grand que le monde.

Au commencement était la ligne qui partage toute chose. Sur le fil ténu de sa lame, inlassable et virevoltante, Hervé dansait et le monde s’ouvrait. Dans l’espace et sans filet, de sa première à sa dernière oeuvre, il a suivi une seule ligne : découper, assembler — en pratiquant l’art de la marqueterie massive.

Michel Cegarra, professeur d’arts plastiques à l’université de Lille III s’est rendu chez Charles Hair, céramiste potier installé à Thizay, près de Saumur, pour tenter de répondre à ces questions. C’est davantage la parole d’un amateur que celle d’un spécialiste, et cela était à l’évidence attendu.