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Mars-Avril 2020

Vie et œuvre commune, les couples de céramistes et de verriers se livrent, entre échanges fertiles et réalités du quotidien…

Au sommaire : un focus sur la biennale Révélations Grand Palais qui se déploiera début mai sous la nef du Grand Palais et hors les murs à Paris ; un débat autour du statut d’artiste-auteur dans les métiers d’art ; un parcours à travers une sélection de galeries dédiées aux arts de la matière.  

L’Inde compte plus de potiers que n’importe quelle autre partie du monde et ils fabriquent les plus grandes statues en terre cuite réalisées à ce jour (jusqu’à cinq mètres de haut).

Ce guide s'adresse à tous les professionnels de métiers d'art, qu'ils soient verriers, céramistes, dinandiers, maroquiniers, mosaïstes ou encore tourneurs sur bois. Il se veut un outil d'accompagnement à la prévention et à la maîtrise des risques auxquels sont confrontés les artisans d'art dans leur activité quotidienne de création ou de restauration. 

Ce guide s'adresse à tous les professionnels des métiers d'art et du patrimoine exposés au plomb dans leur activité : vitrailliste, facteur d'orgue, restaurateur de peintures, ornemaniste... Du port d'équipements de protection adaptés à l'adoption de règles d'hygiène strictes, il met en partage les bonnes pratiques afin d'accompagner les artisans d'art dans leur démarche de prévention en atelier, sur chantier ou en centre de formation.

Potier de grès isolé dans cette région de faïence et de terre vernissée qu’est la Provence, René Ben-Lisa écrit pour rompre le mur de sa solitude. En 1971, il débute une correspondance avec Philippe Lambercy, autre maître de la céramique, dont le calme et la mesure le soutiennent dans ses « errements ».

Installée boulevard Saint-Jacques, en plein coeur de Paris, Annie Fourmanoir a créé depuis plus de cinquante ans une oeuvre personnelle multiforme, marquée par un esprit de recherche et d’indépendance qui l’a menée du contenant à la sculpture.

Ses pas dans les traces des anciens, il se veut compagnon des anonymes romains et des souffleurs de la Renaissance. Lui, eux, et tous ceux qu’il a formés appartiennent à une même confrérie : celle des « gentilshommes » du verre. L’atelier du verrier n’est pas moins grand que le monde.

Au commencement était la ligne qui partage toute chose. Sur le fil ténu de sa lame, inlassable et virevoltante, Hervé dansait et le monde s’ouvrait. Dans l’espace et sans filet, de sa première à sa dernière oeuvre, il a suivi une seule ligne : découper, assembler — en pratiquant l’art de la marqueterie massive.

Michel Cegarra, professeur d’arts plastiques à l’université de Lille III s’est rendu chez Charles Hair, céramiste potier installé à Thizay, près de Saumur, pour tenter de répondre à ces questions. C’est davantage la parole d’un amateur que celle d’un spécialiste, et cela était à l’évidence attendu.

Par son approche culturelle de l’art et de la technique, La Revue de la céramique et du verre témoigne de l’évolution de la création contemporaine des arts du feu, en France et à l’étranger. De l’archéologie à l’avant-garde, du savoir-faire traditionnel à l’innovation technique, la revue s’intéresse à l’objet utilitaire ou décoratif comme à la sculpture monumentale, depuis sa conception jusqu’à son achèvement en passant par la mise en œuvre dans l’atelier.

Par son approche culturelle de l’art et de la technique, La Revue de la céramique et du verre témoigne de l’évolution de la création contemporaine des arts du feu, en France et à l’étranger.